lundi 25 mai 2015

Nope.

J'ai un vieil article en préparation que je voulais poster depuis longtemps sous la main. Je devrai bientôt le terminer, quit à ce qu'il soit complètement anachronique.
En attendant, un p'tit boulot mi-mécanique mi-organique qui m'a privé de nombreuses heures de sommeil ce week-end.
Les membres ne sont pas rattachés au buste car je tenais à l'aspect figurine, bien évidemment.

A bientôt.


RIP, flotte-ruche Kraken.

mercredi 17 décembre 2014

"Santiago" de Mike Resnick, ou, le faux pavé qui m'a réconcilié avec les space-cowboys.

Aussi loin que mon souvenir le permet, mes diverses pérégrinations m'ayant traîné entre les différents clans nerdistes, deux grandes écoles s'étaient toujours vaguement distinguées dans la catégorie des rats de bibliothèques alternatives: les fans de Science-Fiction, et ceux d'Heroic Fantasy (pour faire simple, hein. 'Venez pas me reprendre sur tous les soit-disant sous-genres et les déclinaisons, vous savez aussi bien que moi que ça n'a aucune valeur réelle).
Il me semblait assister à une confrontation de tout instant, entre l'épée bâtarde et le sabre laser, entre Aragorn et Kinkaha. Et bien que certains auteurs, rares et omnipotents magnats selon moi, se soient depuis longtemps affranchis de ces féodalités basiques (dois-je une fois de plus insister sur le potentiel imaginatif quasi-infini de Mme Leguin?); j'avais moi même choisi mon camp. A tort, bien entendu.
Il faut bien l'admettre, la narration ultra-traduite et remâchée platement de K.Dick ou de Farmer m'a souvent arraché plus d'un bâillement. En revanche, je me plaisais à croire que l'écriture symbolique et lyrique de la Fantasy savait vibrer bien plus intensément une fois conjuguée dans la langue de Molière. Je pourrai palabrer une fois de plus sur le cas de Damasio pour étayer ce propos, mais je m'y suis déjà étendu sur un article entier (et puis, Damasio a également pondu pas mal de SF).

Il serait de toute manière bien futile de s'égarer plus avant dans ce genre d'impasse.
Frappante est l'évidence: la jeune pousse que je suis s'est plantée ("plantée", oui, vous saurez apprécier l'acrobatie subtile du jeu de mot), et cela dans les grandes lignes.

Un bienheureux hasard m'a fait tomber cet ouvrage, déjà vieux d'une vingtaine d'années; et qui, aux premiers abords, n'a pourtant pas vraiment attisé mon intérêt. Je me souviens avoir parcouru la quatrième de couverture d'un œil distrait.
"Une histoire de chasseurs de primes? Boarf. Le bon vieux coup de la galaxie administrée sous l'égide d'un empire anthropomorphe? Mouais, déjà vu...."
J'ai cependant entamé ma lecture, reniant tant bien que mal l'encombrant poids de mes -ô combien- nombreux a priori.

Nous faisons ainsi connaissance de notre principal protagoniste dans la tiédeur enfumée d'un bar squatté par une flopée d'aliens, de cyborgs, et j'en passe. Sebastien Cain, ancien révolutionnaire reconverti en chasseur de scalps endurci, y sirote sa spatio-bière à la recherche de la moindre information sur sa cible actuelle, et non pas la moindre: Santiago.

Santiago, c'est un peu le graal de cette charmante communauté de pisteurs du cosmos. Passé outre le flot de ragots qui abondent aux quatre coins de la galaxie sur les prétendus exploits de ce mystérieux criminel, c'est un flou opaque qui entoure sa légende. Personne ne semble avoir d'information concrète sur son identité, ses origines, ou encore ses objectifs. Et si ce n'est pas le challenge de taille qui lance la plupart des chasseurs de primes à sa poursuite, la somme astronomique placée sur sa tête semble en motiver d'avantages.

C'est donc à travers cet univers digne d'un bon vieux western que nous suivons Cain, alias "Oiseau chanteur" durant son enquête auprès d'une bande de fous-furieux accrocs de la gâchette tous plus délicieusement clichés les uns que les autres. Et si cette ambiance, résolument "Borderlands" n'a pas mis très longtemps à m'arracher quelques sourires, il ne s'agissait aucunement de condescendance de ma part. Admettons-le sans mauvaise foi: Finalement, on se prend vite au jeu.

Cerise sur le gâteau, l'intrigue résolument téléphonée se trouve soutenue par les interventions lyriques d'un personnage pour le coup original à souhait: Orphée Noir. Cet étrange chroniqueur saura à chaque début de chapitre vous introduire avec verve et paillardise les nouveaux protagonistes de cnotre étrange odyssée. Il s'agit là de mon coup de cœur personnel. Rares sont en effet les auteurs qui - non contents de tisser une histoire- s'acharnent à enrichir un univers entier de ce genre de petits détails qui font beaucoup pour l'immersion du lecteur.

Santiago n'est sans doute pas le pavé que vous lirez plusieurs fois dans votre vie. Les amateurs du genre pourraient entamer un long débat sur sa nature -ou non- de classique de la SF. Je considère pour ma part cet ouvrage avec la même affection amusée que l'on a pour ces films de série B, ces fausses-parodies jouissives que l'on savoure accompagnées d'un pétard et d'un verre de rouge.
Mais après tout, passé outre les sempiternels conflits sur la définition bancale d'une soi disant "qualité littéraire", n'est ce pas l'histoire en elle même, et sa capacité à mobiliser notre imaginaire, qui importe le plus?
Si tel est en effet le cas, je me permettrai simplement d'ajouter que sur ce point, nos auteurs actuels on beaucoup à apprendre de Resnick, votre dévouée plante la première.

samedi 25 octobre 2014

Back.

L'entrée béante de la caverne millénaire semblait désertée depuis des siècles. Et la lave durcie de son seuil archaïque s’effritait sous un amas de racines noueuses. Statique, comme ensommeillée, la jungle environnante s'était tue, s'abandonnant à l'érosion.
Pourtant, la quiétude des lieux fût tout à coup déchirée par une vibration grouillante. Les viscères de la terre elle-même s'ébranlaient soudain en un prodigieux séisme organique. Puis à la façon d'une gueule infernale, la caverne exhala le souffle chaud et les vapeurs d'un bâillement mécanique. 
C'était une panique sourde qui faisait frémir la forêt; car depuis le fond des entrailles les plus secrètes du sanctuaire, une sombre magie s'animait lourdement, encoure engourdie par ces longues lunes de silence opaque.
Enfin, porté en un écho distordu à travers les profondeurs, un rire sardonique, dément, transperça les cimes et les âmes; se perdant loin, très loin, à l'horizon, et dont les inflexions délirantes furent salués par les envols anarchiques d'oiseaux effrayés.
Et puis, à nouveau, une stase glaciale.

Salut à tous, fidèles compagnons eucaryotes.

Oui, je sais. C'est pas la première fois que je vous vends mon retour avec des textes d'ambiance improvisés à l'arrache, mais il me semblait essentiel de marquer le coup. Maintenant que ce blog a passé les 1000 vues (putain, mille vues, sans déconner?!), il me semble un peu moins légitime de jouer ma starlette pour que dalle.

De plus, j'ai deux trois trucs à vous raconter.

Alors, premièrement, il est nécessaire de célébrer le nouvel âge de la caverne comme il se doit! Un millier de vue, en soi, c'est vraiment pas énorme. Mais je dois bien admettre qu'il y a quelques mois encore, je croyais cela franchement irréalisable. Ce (tout) petit exploit ne s'est bien entendu pas concrétisé tout seul, et je me dois avant tout de remercier Morikun, dont le "mécénat" s'est révélé déterminant. Je vous invite à visiter son temple de quiétude qui saura vous ravir par sa variété de rubriques et sa maîtrise rare de la 'gurine.
Ensuite, j'attribue une mention d'honneur spéciale à nos camarades anglophones (et notamment des USA), qui, avec plus de 220 visites, ont su gonfler mes statistiques de par leurs doctes visites.
Merci à vous, les mecs, vous êtes géniaux. (You all are fucking awesome!)
Et c'est bien sûr à tous mes visiteurs sans distinction aucune que j'adresse mes plus tendres et vénéneux baisers. 
Pour fêter ça, je vous annonce qu'un ravalement de façade général de mon antre ne saurait tarder. On va un peu organiser tout le foutoir accumulé ici, dépoussiérer les coins et rajouter des zolies n'images défilantes. Viiiiiiiii! =D

Ensuite, on va un peu parler fig's. C'est vrai que je n'ai rien pondu de très nouveau depuis un moment, et je vous concocte un petit pavé pour traiter plus amplement du sujet. Il est de ces périodes dans une existence de plante qui nécessitent un changement radical de support afin de toujours mieux canaliser le peu de créativité qu'on a su sauvegarder des belles années dernières nous.
Ça veut pas dire que j'arrête de peinturlurer, hein. Ça signifie que je ralentis.


Je partage cependant avec vous un WIP de ma dernière acquisition, un carnosaure tout frais dont j'ai à peine ébauché la che-tron pour l'instant.
Bien entendu, la caverne saura se substituer à cette carence en vous fournissant nombre de critiques aux médias variés, autre types de travaux plastiques, etc...

En espérant, malgré la refonte imminente de ce blog, que je saurai tenir le coup en votre compagnie au moins pour une année supplémentaire, et que je ne vous décevrai pas trop; je vous souhaite à tous une rentrée chargée de succès, de découvertes, et d'hydromel bon marché.

Bis Bald.

jeudi 14 août 2014

Dinosaurs died partying

Salut à tous!
Un mois d’Août laborieux sur le dos, je ne résiste pas à l'envie de partager avec vous quelques gribouillages résultant d'un p'tit boulot d'étude sur les animaux préhistorique.


















Les proportions restent très aléatoires, et j'ai souvent du simplifier certains détails (notamment les crânes de diplodocus et de T-Rex, qui sont en vérité infiniment plus complexes). Mais je suis en revanche plutôt content de l'effet "vieil" os que j'ai obtenu sur les fossiles en surlignant les ombrages au crayon orange et en coloriant le reste en jaune.

 Oui oui, le T-Rex est à l'envers, ma mise en page
n'a ni queue ni tête, et le dimétrodon n'était pas un dinosaure. Mais hey, je suis un Jean-Foutre ou quoi? Un Jean-Foutre en vacances qui plus est, ou presque. =p
Alors on prend ses gouttes, et en attendant un article plus sérieux, on profite de son séjour chez mémé! Non mais oh.


Bonne fin d'été à tous!











dimanche 20 juillet 2014

Dong-dong-dong motherfucker.



 Salut à tous!
Voilà déjà un sacré bail que je ne suis pas repassé dans le coin... Mais rassure-toi, lecteur alangui, la plante en peau n'est pas morte! Elle a simplement profité d'une grosse pause-photosynthèse (comprenez: énorme phase glandouille et travail au compte-goutte).
Je vous reviens ainsi, la valise remplie de projets plus ou moins achevés. L'un d'entre eux a d'ailleurs été annoncé depuis un moment déjà. Et c'est sans vous faire attendre plus longtemps que je vous présente ma cloche hurlante, finalement achevée de frais!


La cloche avant le montage. J'ai été surpris de l'effet de violet
métallisé, que je ne croyais pas obtenir  aussi
facilement (un mélange à 70% de boltgun et
à 30% de violet suffit largement)
Minus et Cortex, un duo de choc!




Le prophète gris n'a pas été ma plus grande réussite, mais
je trouve qu'il rentre bien dans l'ensemble ^^


Ça commence à faire un sacré foutu paquet de monde.

jeudi 29 mai 2014

Vienne!


                                        


Salut à tous!
Aujourd'hui, pas de 'gurine, de nanard ou de promesse de damnation éternelle, non, bien pire: des photos de voyage! AAAAAAARK!!!!
Rassurez-vous, je ne compte pas faire de ce blog un amas de comptes-rendus touristiques, 'manquerait plus que ça! Ce serait de toute façon bien ardu, étant donné que ce n'est pas tous les jours que la plante en peau s'extirpe de sa jungle natale pour gagner les terres civilisées. Vous saurez donc souffrir une toute petite entorse au nindo de la caverne. ^^

C'est donc ainsi qu'après avoir passé plus de vingt ans à râler contre les touristes qui avancent à deux à l'heure en bloc compact dans les tunnels du métro parisien (pour le plus grand PLAISIR des locaux qui essaient juste d'arriver au boulot dans les temps), que je me suis retrouvé moi même à déambuler béatement dans les rues, un appareil photo en main et le nez dans les nuages. J'ai néanmoins réussi à éviter le short, les sandalettes et le t-shirt "I love Vienna", parce que bon, c'est important de conserver un minimum d'amour propre.

Pour commencer, il faut que je vous touche deux mots du trajet en coucou: L'avion, c'est cher, c'est long et c'est chiant (au moins comme ça, vous pourrez pas dire que vous n'êtes pas prévenus). Ajoutez à cette fatalité un couple de petits vieux pour voisins qui décide de bourriner sur la climatisation pour éviter à bobonne d'avoir à se relever une deuxième fois pour reprendre un verre d'eau, et vous obtenez une ambiance de voyage à peine moins pourrav' qu'un trajet en car en compagnie de supporters du PSG.
M'enfin, je prends sur moi, me contorsionne pour trouver une illusion de confort dans mon siège de classe économique, et entame un nouveau roman de SF (qui sera d'ailleurs sans doute l'objet de mon prochain article "lu et approuvé"). A peine la première page tournée, une hôtesse de l'air qui traîne un chariot comme d'autres se trimbalent la syphilis (avec peine, donc) s'arrête à mon niveau et me tient à peu près le discours suivant:
"Schluden gluck glücken ab gluck?"
Devant ma mine déconfite de non-initié, elle me propose le même sachet de noix séchées et de cacahuètes, cette fois-ci en anglais.
J'avais envie de lui répondre un truc du style "Meuf, je te rappelle qu'on est dans une carlingue à des centaines de mètres du sol, et que la seule chose qui nous maintient à cette altitude est le fait qu'on aille à toute vitesse, ce qui n'est pas forcément super rassurant en soi. Alors, à moins que tes cacahuètes soient bourrées de valium et qu'on puisse les accompagner d'une bonne bière, non merci mais ça ira."
Et puis je me suis imaginé à sa place, à proposer des gâteaux secs à tous les petits vieux en état de déshydratation avancée du vol juste pour faire damer ses mouflets, et je me suis contenté de répondre "Non merci, ça ira". Mes très sympathiques voisins ont pris deux paquets chacun, du coup ils ont eu encore plus soif, et ils ont encore monté la climatisation d'un cran (ce qui n'a pas vraiment de lien logique avec la soif, je vous l'accorde).
Lorsqu'enfin je posais un pied sur le sol de Autrichien, j'étais à moitié congelé sous un soleil de plomb.

Je retrouve ensuite ma dulcinée, habituée des lieux, qui m'introduit aux subtilités des transports en commun locaux. J'ai été un peu surpris en m’apercevant que les portails des stations de métro et RER étaient tous ouverts, béants, sans discrimination. Pour tout vous avouer, au début, j'ai simplement cru qu'ils étaient cassés. >< Imaginez mon désarroi lorsque ma chère et tendre m'expliqua que mis à part quelques contrôles des titres de transport, la bonne marche de ces services ne sont basés que sur la bonne volonté et l'honnêteté de ses usagers... Sérieusement? Un service public qui fait confiance aux gens? Non mais la blague! La phase! Science-fiction, moi j'dis!... Et bah non, même pas.

Bref. Je passe en coup de vent vers mon point de chute pour y lourder mon sac, avant de repartir aussitôt à la conquête des rues.

Je n'ai que survolé le centre-ville; il faut bien admettre que les appartements de Sisi l'impératrice, les mecs déguisés en Mozart qui t’inondent de prospectus et les boutiques Zara n'étaient pas dans les incontournables de ma checklist. 









Par contre j'ai visité une fac. LA fac, à vrai dire. Une bâtisse tellement énorme et solennelle qu'en y pénétrant, tu t'attends à être accueilli par un fantôme sans tête et la version Spätzle de Dumbledore. Bibliothèque tirée d'un roman de Jules Verne, couloirs pavés d'un marbre si poli que tu te demandes si t'as pas loupé le stand de patins à l'entrée... Bordel, on est loin de Paris 3, les mecs; et ça se sent. Mention spéciale à la cour intérieure de bâtiment, bordée de bustes de personnages prestigieux d'hier et d'aujourd'hui.







Schrödinger a posé son graff' ici. Big up.
Une bière pas chère, pas dégueu', et servie avec le sourire.
Alors que sous la canicule, ma dame et moi profitons d'une pinte de blonde salvatrice (et pas chère sans être de la pisse! C'est donc encore permis par toutes les lois de la physiques, mes amis parigots), cette dernière me conseille le Quartier des Musées. Au programme? Art moderne (j'ai bien écrit: MODERNE. Les fans d'Antoine Daniel qui se contentent de caqueter son discours obscurantiste pré-chié à l'encontre du contemporain peuvent à présent lancer une recherche google et constater la nuance); puis histoire naturelle.

                                                                                                                                                                                                                          



Bon, il faut bien admettre que ma visite au Mumok (le musée d'art moderne, donc) m'a laissé un peu dubitatif. La plupart des salles n'étaient  pas accessibles au public pour cause de travaux, et je n'ai pas trouvé les thématiques proposées entre les œuvres très évidentes. La disposition  n'y était pas non plus transcendante. Je suis tout de même heureux d'y avoir croisé quelques Picassos, Brancusis et autres Magrittes. =D 


A la sortie de l'expo, nous avons été surpris par la pluie avec la violence d'une béquille dans la gueule, alors nous avons décidé d’enchaîner tout de suite sur le muséum d'histoire naturelle. 
Aaaaaah, le muséum d'histoire naturelle!...  ='D Je me rappelle encore étant chiard, lorsque mon grand père me traînait à celui de Paris. J'avais toujours été emporté avec la même stupeur par le silence contemplatif de ses immenses salles à la solennité poussiéreuse. C'en était à se croire dans une aventure d'Adèle Blanc-Sec! Et puis... Il y avait le brachiosaure. *o* Sans doute encore mon sauropode préféré! 
Bref, c'est avec l'euphorie d'un môme de huit ans que je retrouvais cette ambiance hors du temps et de ses limites; et je dois dire que j'ai été servi! Mention spéciale à la collection HALLUCINANTE de minéraux de l'établissement, mais aussi à celle des trilobites (tout de même assez sérieuse).

Une sacrée putain de collection de cailloux.

La Venus de Willendorf, toujours à glander contre le radiateur...

Tout un tas de trilobites.

Une reconstitution du Permien, une époque qui a précédé celle des dinosaures.
Non, le dimétrodon n'était pas un dinosaure.
J'ai pas noté le nom de ce cératopsien. Si jamais
quelqu'un s'y connait un peu en dinos', je serais ravi d'être éclairé ^^
Un fossile d’allosaure. On peut voir dans le fond au centre celui, bien plus célèbre, d'un
itchyosaure.
Ptéranodon
Tricératops et T-Rex
Le mégathérium, un paresseux de la taille d'un ours qui a côtoyé les premiers hommes.
Tigre à dents de sabre.
Ils avaient bien entendu leur propre collection d'animaux empaillés...
Un peu glaucos', mais fascinant ^^


Toutes mes excuses par avance pour les reflets dégueux sur les vitrines. Ça vous permet d'au moins imaginer un peu l'architecture des lieux. ^^'
Nous sommes rentrés sur les rotules, mais satisfaits d'avoir rempli nos objectifs de la journée!

Pour finir, j'ai terminé d'user mes godasses sur les rives du Danube. L'une des ses branches en particulier, celle qui longe le centre-ville, est parsemée de magnifiques tags qui valent (pour la plupart) vraiment le coup d’œil.










C'est sur ce dernier flot de photographies que je pose ma plume. Cet article est déjà vachement long. ^^
On se revoit bientôt pour la fin de la Cloche Hurlante, et pour un autre projet!

Bis Bald!